Notre vision économique vise à stabiliser la reprise pour réaliser des progrès

Vendredi 27 septembre 2024, au Palais du Gouvernement à la Kasbah, le Premier ministre Kamal Maddouri a supervisé un conseil ministériel désigné pour examiner les équilibres financiers du projet de loi de finances pour l’année 2025.

Le Premier ministre a souligné l’importance du projet de loi de finances pour l’année 2025, car il incarne la vision et les options de l’État, qui se traduisent principalement par la stabilisation de la reprise et la réalisation du décollage économique en stimulant l’investissement et en continuant à renforcer le cadre social de l’État. fondations.
Soulignant la nécessité que la loi de finances s’appuie sur l’évaluation des acquis, l’accumulation des résultats positifs, l’anticipation des évolutions selon une vision conciliant les exigences d’une gestion efficace et optimale des ressources et des programmes de l’Etat, et sur la poursuite des travaux pour résister aux impacts économiques, sociaux et climatiques, améliorer la durabilité des finances publiques et fournir les conditions et les moyens nécessaires au succès du changement structurel de l’économie nationale.
Le Premier ministre a indiqué que l’amélioration des indicateurs économiques et financiers devrait s’accompagner de mesures visant à établir l’option de la justice fiscale, à contrôler le taux d’inflation, à accroître le pouvoir d’achat, à développer le système de protection sociale et à répondre aux attentes et aspirations des citoyens. Peuple tunisien de toutes catégories.
Pour sa part, la ministre des Finances a passé en revue les orientations générales les plus marquantes qui ont été adoptées lors de la préparation des équilibres financiers du projet de loi de finances pour l’année 2025, qui se traduisent par l’élimination des formes d’emploi précaire tout en augmentant les dotations allouées aux transferts sociaux et préserver le système de soutien, en plus de s’accrocher aux options nationales en matière de mobilisation des ressources et d’encourager… L’initiative privée, en plus de parachever les réformes financières et économiques tout en continuant à maîtriser le déficit budgétaire, à maîtriser le niveau de la dette publique, à assurer que la Tunisie remplit toutes ses promesses financières internes et externes et que l’État continue de jouer son rôle en investissant dans les infrastructures et en améliorant les services fournis aux citoyens.