L’Association nationale des petites et moyennes entreprises a appelé le Premier ministre à revoir la loi n°9 de 2018 réglementant la profession de notaire, qui a été adoptée dans des « circonstances de corruption », tout en attribuant un pouvoir de contrôle et de discipline à la profession à sa discrétion.
Considérant qu’il est logiquement et juridiquement déraisonnable que l’officier d’exécution reçoive deux salaires différents en échange de l’accomplissement du même effort, quelle que soit la valeur de l’argent offert ou raisonnable. Considérant que le notaire exécutant exerce une partie des tâches de l’État, il doit être soumis au contrôle de l’État seul et non du doyen, car ce dernier est en situation de conflit d’intérêts et ne peut pas protéger les consommateurs des services du notaire exécution. du point de vue de l’association.
Dans un deuxième contexte, l’association a appelé le Premier ministre à ouvrir une enquête sur les « abus commis » par certains agents d’exécution, tout en écoutant les plaintes des victimes qui se comptent par milliers, et à engager immédiatement une révision de l’accord ministériel conjoint. décision du 25 juin 2021, qui ne précise pas comment déterminer les frais de justice d’exécution par rapport aux montants. Dans le procès-verbal, il est précisé que les frais de perquisition, de destruction et d’assassinat sont fixés sur la base d’un pourcentage. de la valeur raisonnable ou de l’argent offert pour accomplir le même effort. Elle s’interroge : est-il raisonnable et acceptable que les honoraires diffèrent d’une justice d’exécution à l’autre pour effectuer le même travail, n’eut été le non-respect du tarif des honoraires approuvé par une décision ministérielle conjointe ?