Dans le cadre du renforcement du partenariat tuniso-québécois, et fondé sur la volonté commune de soutenir et de développer le secteur maritime, une entente de partenariat tripartite a été signée au siège de la Confédération des entreprises citoyennes tunisiennes (CONECT) entre le Groupement professionnel des industries maritimes (GPIM), affilié à la CONECT, la Fédération des chefs d’entreprises du Québec (FEDCEQ) et la Chambre de commerce canado-tunisienne (CCCT).
Cet accord stratégique vise à renforcer la coopération bilatérale, à encourager l’échange d’expériences et d’opportunités d’investissement et à soutenir le développement durable du secteur maritime entre la Tunisie et le Québec.
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A travers ce partenariat, les trois parties s’engagent à unifier les compétences et les ressources et à construire des ponts pratiques de coopération entre les acteurs économiques, industriels et universitaires des deux pays.
Ce partenariat vise à faire du secteur maritime un levier de développement, de formation et d’innovation. Le Regroupement professionnel des industries maritimes (GPIM) et la Fédération des chefs d’entreprises du Québec (FEDCEQ), avec le soutien de la Chambre de commerce canado-tunisienne (CCCT), travailleront ensemble pour préparer une stratégie nationale de construction navale en Tunisie, inspirée des meilleures expériences canadiennes, tout en favorisant l’établissement de partenariats industriels et économiques durables.
En plus de renforcer la compétitivité et la solidité des chaînes d’approvisionnement, cet accord ouvre de nouveaux horizons d’investissement et de croissance pour les deux parties, et incarne la volonté commune de transformer l’intégration entre la Tunisie et le Québec en un modèle de coopération permanent et équilibré basé sur la confiance, la solidarité et l’innovation.
Pour la Tunisie, ce partenariat représente une opportunité de moderniser le système maritime national, de créer des emplois qualifiés et de renforcer sa position de centre maritime stratégique dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.
Le Québec, quant à lui, constitue une porte d’entrée distinctive vers de nouveaux marchés francophones et africains, tout en contribuant au développement des compétences humaines et en favorisant l’échange d’expériences.
