Le Ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche a confirmé, dans un communiqué publié par lui, que tous ceux qui souhaitent visiter les parcs nationaux et les réserves naturelles doivent obtenir l’approbation préalable des intérêts des délégations régionales pour le développement agricole de la région de référence.
Le Ministère a indiqué que, selon les nouvelles conditions, une demande doit être introduite sept jours avant la date de la visite en approuvant le courrier électronique de la délégation concernée et de la Direction Générale des Forêts.
Pour les groupes de plus de quatre personnes, l’organisation doit être réalisée par une association, une agence de voyages ou une structure légalement habilitée. La demande doit comporter le statut du responsable du groupe et l’identité de tous les participants, à l’exception des visites officielles et des familles.
Le demandeur doit également, sous sa responsabilité, informer les autorités locales et régionales de la date de la visite et de la liste des participants, après l’obtention de l’autorisation.
Le ministère de l’Agriculture a souligné que la propreté de la zone protégée doit être maintenue et que tous les déchets résultant de la visite doivent être évacués. Il est interdit de camper, d’allumer des feux, de faire du bruit, ainsi que d’introduire et d’utiliser des instruments de musique et des amplificateurs.
Dans le texte de la communication, il a souligné la nécessité de respecter les instructions des surveillants de la zone protégée et de se limiter aux zones et espaces autorisés à entrer et à se promener.
À cet égard, il faut souligner que l’administration se réserve le droit de rejeter les demandes qui lui sont soumises, compte tenu de la capacité d’accueil du parc. Des frais peuvent également être facturés pour l’entrée dans les zones protégées conformément à la réglementation en vigueur.
Toute violation des conditions et procédures précitées ou atteinte à l’aire protégée expose le titulaire du permis à des conséquences pénales conformément aux dispositions du Code forestier, en plus d’être privé de la visite ultérieure des aires protégées.