Hossam El -Din Al -Jababli, porte-parole de l’administration générale de la Garde nationale, a confirmé qu’il avait affaire à des Africains sub-sahariens lors du déplacement de leurs camps à la SFAX, de manière humanitaire et sociale dans le contexte de la manière de respecter les droits de l’homme et les traités internationaux, et de donner la priorité à la sécurité de la sécurité, compte tenu de la situation de la santé et de la santé et de la santé environnementale détérées.
Al -Jababli a ajouté à cet égard que les unités de sécurité coordonnées, en particulier avec le ministère de la Santé, du Croissant-Rouge et de la protection civile, pour aider certains des blessés et accueillir certaines femmes et enfants enceintes, notant que le processus de stérilisation qui accompagnait la suppression des camps sub-sahariens est toujours en cours.
D’un autre côté, Al -Jababli a déclaré que certaines voitures de sécurité avaient été lancées avec des pierres par des Africains sub-sahariens, ajoutant qu’il y avait des arrêts qui ont affecté certains d’entre eux. Ils ont été expulsés de force depuis la nuit dernière, notant qu’il y a une coordination quotidienne par le chef de l’État avec les pays de réception et de transit et les pays source concernant le rendement volontaire. La coordination est également effectuée quotidiennement avec les citoyens et les organisations préoccupés par l’immigration concernant la résidence temporaire et l’hébergement temporaire avant l’objection du rendement volontaire.
Dans un contexte connexe, Al -Jababli a déclaré qu’il y a des Africains qui appellent les organisations à revenir et à penser à d’autres pays, étant donné que les opérations de voile leur seront subrepticement impossibles.