Le projet d’ordonnance lié à l’organisation administrative et financière du Conseil suprême de l’éducation, en plus de l’ordonnance liée à son système interne, a représenté le centre de la réunion qui a réuni le président de la République, a déclaré Qais, hier, mercredi 02 avril 2025, au Carthage Palace au ministre de l’Éducation, Noureddine al -Nuri.
Le président de l’État a de nouveau souligné l’importance de cette institution constitutionnelle, qui a été organisée en vertu du décret n ° 2 de 2024 du 16 septembre 2024, notant que le secteur de l’éducation a été témoin, dans le sens d’autres secteurs publics, bombardant et détruisant depuis le début des quatre-vingt-dix années du siècle dernier qui ont conduit à cette situation.
Le président de la République a également indiqué que les approches qui ont été adoptées et les programmes choisis n’étaient pas innocents et étaient justifiés à l’époque en séchant les sources.
Le chef de l’État a été exposé à ce que la Tunisie a su depuis le XIXe siècle, de nombreuses tentatives de réforme, dont certaines ont réussi, et le même succès a été rencontré par un certain nombre d’autres expériences.
Le président de la République a souligné que l’objectif d’établir le Conseil suprême de l’éducation est de distribuer les générations futures des comptes politiques et de recevoir l’éducation en fonction des programmes et des programmes qui sont placés sur des fondations scientifiques qui préservent son identité, en particulier à la lumière de la propagation des médias modernes et de lui permettre de contribuer actif à l’éducation au niveau mondial.
Le chef de l’État a souligné davantage d’informations sur les éducateurs et les enseignants et a promis des écoles et des instituts. Le droit à l’éducation est un droit qui doit être soumis à tout le monde sur un pied d’égalité, en plus qu’il représente le premier barrage impénétrable devant toutes les formes d’aliénation et toutes sortes d’extrémisme.