Le ministère de la Justice est la nouvelle

Le ministère de la Justice, dans une communication publiée aujourd’hui, le dimanche 4 mai 2025, a menti sur la nouvelle d’un prisonnier déposé dans la prison de Bizerte, Ryan Al-Khalafi, à la torture et à la violence.

Le ministère a décrit ce qui a été diffusé comme de fausses nouvelles, annonçant le début de toutes les mesures juridiques nécessaires au suivi criminel contre toutes les personnes impliquées dans sa publication.

Ce qui suit est le texte de la communication complète:

Le ministère de la Justice met fin à la science de l’opinion publique selon laquelle, à la suite de la circulation d’informations incorrectes par le biais de plateformes de médias sociaux concernant les allégations selon lesquelles l’un des prisonniers déposés dans la prison de Bizerte est soumis à la torture, les clarifications légales suivantes et réalistes:

Premièrement: les poursuites publiques de la Cour de première instance à Bizerte, le vendredi 2 mai 2025, ont retiré le prisonnier concerné de la prison pour comparaître devant lui immédiatement pour assurer la validité des allégations mentionnées, car il a été soigneusement examiné par le représentant de la poursuite de la violence, et cela inclus dans un dossier officiel et il a été constaté qu’il n’y avait aucun signe ou effet sur son corps.

Deuxièmement: L’inspection générale des prisons et des réformes a immédiatement commencé ses mesures de supervision, et toutes les actions et travaux réglementaires ont été menés conformément à la loi et écoutés toutes les parties concernées, et il n’a été prouvé par l’existence de toute indication que le prisonnier concerné a été soumis à un abus ou à toute forme de violence.

Troisièmement: une recherche d’enquête a été ouverte le 03 mai 2025, et le juge enquêteur a été accompagné du représentant de la poursuite du siège de la prison pour inspecter le prisonnier concerné et a commencé les procédures juridiques nécessaires, des inspections et des casques, ce qui a confirmé qu’il n’y a pas de trace de violence sur le corps des prisonniers.

Quatrièmement: le ministère de la Justice confirme que l’image qui a été diffusée dans la compagnie des fausses nouvelles n’est pas liée au prisonnier concerné, mais plutôt à une image datant de l’année 2017 et concerne un incident qui s’est produit dans un autre pays, et il a été utilisé en erreur et à la confusion avec l’opinion publique.

Cinquième: Le ministère annonce que toutes les mesures juridiques nécessaires au suivi criminel contre toutes les personnes impliquées dans la publication de ces fausses allégations, conformément aux dispositions de la loi.

Le ministère affirme son engagement complet et permanent envers les principes des droits de l’homme et des normes internationales dans le traitement des prisonniers, et leur ouverture à tous les mécanismes de surveillance qui garantissent les droits des déposants et le manque d’impunité sous la forme de violations fixes, et non basées sur de fausses informations.