Le magnat du terrorisme autorise la détention d’un informateur qui a fourni de fausses preuves sur Al-Zaynaid

Le ministère public a autorisé le pôle judiciaire antiterroriste à retenir un informateur qui a fourni des preuves liées aux soupçons selon lesquels l’un des candidats à l’élection présidentielle (Mundhir Al-Zanaidi) aurait fourni d’importantes sommes d’argent aux membres de sa campagne électorale avec le avec l’intention de semer la confusion au cours des élections. Il s’est avéré que les preuves étaient fabriquées et que ses déclarations étaient fausses et qu’il les avait préparées avec un homme politique du parlement précédent, selon ce qui était indiqué dans le rapport. rapporté par Hanan Qadas, porte-parole du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme, jeudi soir.

Gaddas a indiqué, dans une déclaration aujourd’hui à l’agence Tunis Afrique, que selon ce qui a circulé sur les pages des réseaux sociaux à propos du prononcé d’un jugement de non-audience dans un dossier dont les faits concernaient le soupçon que l’un des candidats à les élections présidentielles ont fourni d’importantes sommes d’argent aux membres de sa campagne électorale afin de semer la confusion au cours des élections et de forcer la population à… S’attaquer les uns aux autres et mener des opérations terroristes. Il est important de préciser que le pouvoir judiciaire chargé du terrorisme a ouvert le dossier sur la base d’une information fournie par un informateur et accompagnée d’une corroboration.
Gaddas a ajouté que ces documents sont des documents qui sont des images numérisées de messages WhatsApp entre différentes parties, confirmant que le ministère public a ensuite autorisé l’ouverture d’enquêtes par l’Unité nationale pour enquêter sur les crimes terroristes, entendre l’informateur et enquêter sur les documents qu’il a fournis.
Elle a expliqué qu’au fur et à mesure des recherches, il s’est avéré que les déclarations faites étaient fabriquées et que les déclarations de l’informateur étaient fausses. Ces documents ont été préparés par l’informateur et un homme politique (un ancien député) dans le but de semer la confusion au sein de la population. et perturber le processus électoral.
Gaddas a souligné que le ministère public du Pôle judiciaire antiterroriste a autorisé le changement du statut juridique de l’informateur à suspect et le garder avec les parties qui ont contribué à fabriquer ces documents et à diffuser de fausses nouvelles. Après avoir terminé ses recherches et l’expiration de la période de détention conformément à la loi antiterroriste, elle a transmis le dossier au procureur de la République de Tunisie pour enquête et lui a déféré toutes les parties au dossier dans un cas de soumission en raison de la l’absence de caractère terroriste et les faits liés aux atteintes aux droits publics en dehors du champ de sa compétence.
Elle a indiqué que le ministère public tunisien a autorisé l’ouverture d’une enquête d’investigation contre toute personne avérée impliquée dans la fabrication de faux documents et informations dans le but de semer la confusion et d’embrouiller le processus électoral, et que les recherches sont toujours en cours.