L’Autorité générale des prisons et de la réforme a clarifié ce qui circulait sur certains réseaux sociaux concernant la détérioration des conditions de santé de certains prisonniers à la suite de la grève de la faim.
L’Autorité générale des prisons et des services correctionnels a nié ce qui se faisait dans ce contexte, soulignant que les rumeurs circulant n’étaient absolument pas vraies.
L’autorité a confirmé que l’état de santé des personnes concernées est normal et stable, comme l’ont prouvé les examens et inspections médicaux effectués quotidiennement et continuellement par le personnel médical et paramédical, ainsi que les suivis périodiques effectués par les agents directs dans les unités pénitentiaires, qui ont tous prouvé que les grèves de la faim mentionnées n’avaient aucun caractère grave, surtout après qu’il a été prouvé que certains des cas auraient été une grève de la faim brutale.
L’Autorité générale des prisons et des établissements pénitentiaires a souligné son souci d’assurer à tous les détenus les soins de santé nécessaires et les droits qui leur sont reconnus par la loi, sur un pied d’égalité et conformément aux procédures en vigueur, appelant à éloigner la prison et l’établissement pénitentiaire de toutes tensions, quelle qu’en soit la nature ou l’origine.
Elle a également confirmé avoir engagé des poursuites judiciaires conformément à la loi contre toute personne ayant délibérément publié de fausses nouvelles et données dans ce contexte.