Dans l’un des piliers de la rue Habib Bourguiba dans la ville de Djerba Al -Souk, du gouvernorat de la Médénine, il a été érigé depuis des décennies et au fil des ans, les tableaux de fabrication et de vente d’Al-Mashoum, en maintenant sa présence jusqu’à aujourd’hui.
Ici, selon Habib Awja, s’intéresse à l’héritage et aux affaires culturelles du correspondant de la radio IFM dans l’État de Médénine, Maimon bin Ahmed, qui trouve les fans et le jasmin des habitants de l’île et de ses visiteurs, qui complètent l’atmosphère des soirées d’été, où les parties ne sont pas terminées sans un shampooing, bien que ces émissions aient été des émissions, que ce soit dans le CAFE ou les stands de stands, de la décoration des hommes, que ce soit dans CAFES, ou les stands de la fut En l’absence des dernières années du théâtre en plein air de la ville de Djerba, le Djerba International Festival, ou même dans les « forums » des tambours et des mariages qui donnent aux nuits de rêve de l’île une saveur et une atmosphère particulières.
Le shampooing est fait en fonction de notre interlocuteur à partir des bâtons de la solution, combinés et attachés à un fil, puis haché par du jasmin ou des fleurs peler d’une manière délibérée et régulière, avant d’ouvrir et de se sentir avec son parfum distinctif. Quant aux fleurs, les fabricants de shampooings d’enfants qui passent l’été sont collectés, pour gagner un revenu de leur part qui les aide à couvrir leurs études.
Et certaines familles de la ville de Djerba Houma Al -Souk étaient célèbres pour cet artisanat depuis l’Antiquité, comme les familles d’Al -Majbri et d’Al -manea, où certains de leurs membres ont émergé au niveau national et mondial, notamment Annan et Saad Al -manea, qui ont consacré leurs efforts pour préserver cette tradition ancienne et le transférer à de futures générations selon nos interlocutor.