Le Premier ministre Ahmed El Hachani a rencontré cet après-midi jeudi au siège du gouvernement français son homologue Gabriel Attal, en marge de la visite de travail qu'il effectue à l'invitation de son homologue français, du 28 février jusqu'à l'année prochaine. 1er Mars.
Le Premier ministre a évoqué, à l'occasion, les relations de longue date entre la Tunisie et la France, ainsi que les liens qui les unissent dans de nombreux domaines, soulignant que la Tunisie œuvre à leur développement et à leur diversification, notamment à la lumière des circonstances qui que connaît le monde aujourd’hui et les pressions qui s’exercent sur lui.
Al-Hashani a déclaré qu'aucune partie ne peut toucher à ces relations solides qui unissent les deux pays car « leurs fondations sont solides et ne changeront pas. Au contraire, le travail se poursuit des deux côtés pour les développer davantage », selon son estimation.
De son côté, le Premier ministre français Gabriel Attal a d'ailleurs indiqué que cette visite est l'occasion de mettre en valeur la pérennité et la solidité des relations bilatérales franco-tunisiennes, soulignant la nécessité de les soutenir davantage et de les faire avancer pour relever tous les défis géopolitiques. , économiques, culturels et sociétaux, ainsi que ceux liés à l’immigration, pour le bien des deux côtés.
A cet égard, Gabriel Attal a souligné que les relations uniques entre les deux pays vont au-delà des individus, ajoutant que la Tunisie est un partenaire stratégique avec lequel il est nécessaire de multiplier et de diversifier les partenariats et de travailler de pair avec lui pour atteindre des niveaux avancés. dans divers domaines d'intérêt commun.
Le Premier ministre français a fait allusion aux relations économiques importantes entre les deux parties, rappelant l'implantation de nombreuses entreprises et institutions françaises en Tunisie, ainsi que le soutien de la Tunisie à l'agriculture française, notamment dans le domaine des céréales.
Il a appelé à la nécessité d'intensifier les visites et l'échange d'expériences dans les domaines d'intérêt commun, et d'encourager les hommes d'affaires des deux parties à investir et à travailler pour réaliser le développement et développer la réalité du développement dans les deux pays, en particulier à la lumière des conditions et des défis actuels. .